Nicolas CHEPLAGIN
Après avoir réalisé une thèse en physique optique à l’Université Électrotechnique de l’État de Saint-Pétersbourg, je me suis réorienté vers les sciences sociales.
Ainsi, j’ai intégré le Collège Universitaire Français de Saint-Pétersbourg où j’ai soutenu le mémoire de M2 portant sur la commercialisation de la recherche scientifique. Le travail du terrain a été accompli au sein d’une start-up finlandaise, un producteur important des satellites de télédétection.
Grâce à une bourse du Gouvernement français, j’ai poursuivi mes études du Master à Sorbonne Université. C’est là que je me suis intéressé à l’usage de la simulation numérique dans la science.
Mon questionnement porte sur les formes du travail collaboratif, ainsi que d’inédits phénomènes sociaux engendrés par le recours à la simulation numérique en tant qu’outil de recherche.